The HellBlog, le Blog d’Aka

Pour mon come-back (le énième) je cherchais un sujet percutant, étonnant, vibrant. Et en fait j’ai rien trouvé. Il y aurait bien eu quelques beaucoup de trucs à dire sur 2009, mais je dois dire que l’année aura été teintée de pas mal de tristesse et que je n’ai qu’une envie aujourd’hui, c’est entamer une nouvelle année. Alors au diable les bests of de fin d’année, tournons-nous vers l’avenir !

Du coup, voici une petite sélection de jeux que j’attends avec impatience en 2010… Let’s play !

Janvier

Bayonetta

Bayonetta sort début janvier en France alors qu’il est déjà sorti dans tous les pays qui nous entourent, ce qui relève de l’injustice la plus terrible. Mais l’attente n’en est que plus grande. Le nouveau jeu du créateur de Devil May Cry promet un concentré de style et d’action tout à fait jouable, fluide, beau et drôle. En tout cas, c’est la couleur annoncée par la démo. Bayonetta est une sorcière super vieille qui ne fait pas du tout son âge (sauf peut-être ses lunettes, mais les lunettes c’est stylé tout le monde le sait, hein) et qui balance une ou deux blagues entre deux combos finish des pls violents. Un régal pour les yeux qui a le mérite de défouler sévère. Le jeu sort sur PS3 et XBox 360 mais comme le soft a été développé sur la console de Microsoft, il est en superior version dessus : si vous avez le choix, prenez-le donc sur 360.

Pourcentage d’excititude : 95%

Mass Effect 2

Mass Effect 2 est tellement la suite du premier que l’on pourra y jouer en prenant sa sauvegarde du premier jeu. Disponible sur XBox 360 et PC, ce nouveau jeu de Bioware (dont la dernière création en date, Dragon Age, enflamme mon PC) nous remettra dans la peau du colonel Sheppard (Homme ou femme, ça dépend des gouts du joueur) à la tête du vaisseau Normandy. Encore plus de planètes à explorer et de méchants à dézinguer, en espérant un scénario bien dense et une fin un peu plus conséquente que celle du premier jeu, qui m’a laissé un vieux “tout ça pour ça” amer dans la bouche. Et si ça n’était que le commencement ?

Pourcentage d’excititude : 85%

Février

Bioshock 2

Bioshock est le FPS qui m’a fait aimer les FPS sur consoles, moi qui suit plutôt une adapte des jeux de rôles et des actions/aventures  la troisième personne. Son univers incomparable, son ambiance angoissante et son scénario démoniaque en font d’ailleurs bien plus qu’un doom-like de base comme on en croise trop souvent. Ce second opus nous met dans la peau du pire ennemi que l’on pouvait rencontrer dans Bioshock, à savoir un Big Daddy, monstre de métal avec une énorme vrille à la place de la main  droite voué à la protection des Petites SÅ“urs, fillettes aux yeux jaunes dont la principale occupation est d’extraire l’Adam des cadavres de Rapture. Et rien que de penser à cette ville sous-marine peuplée de fous, ça me donne des frissons !

Pourcentage d’excititude : 100%

Aliens VS Predator

Si les films sont assez nuls (surtout le deuxième), les jeux de la franchise Alien Versus Predator sont plutôt réussis. Les deux premiers avaient en tout cas eu leur petit succès sur PC en 1999 et 2001 en offrant des modes multijoueurs innovants pour l’époque.  Le nouveau jeu proposera toujours 3 alternatives : incarner un alien, un predator ou un soldat humain. Pour avoir vu le jeu en démonstration au dernier Festival du Jeu Vidéo, il y en aura pour tous les gouts : Puissance et gore pour les deux créatures, flippe totale pour le marine américain. Quelques petits détails font leur effet et respectent la mythologie de base : par exemple, les Predators collectionnent les têtes de leurs victimes comme des trophées. Il est de fait de rigueur de décapiter les marines, dont la tête de certains sont utiles pour ouvrir des portes protégées par un scanner rétinien. Y a de l’idée, même si ce n’est sans doute pas le jeu de l’année question réalisation !

Pourcentage d’excititude : 80%

Splinter Cell Conviction

En exclu sur PC et XBox 360, les nouvelles aventures de Sam Fisher, devenu un gros rebelle en quête de vérité, oscillent entre escalade façon Assassin’s Creed, infiltration tendance Uncharted 2 (Je sais que ça va faire hurler certains que je n’associe pas l’infiltration à Metal Gear Solid, mais il faut admettre que dans Uncharted 2 c’est bien plus dynamique) et interrogatoires musclés façon, heu… Peut-être rien auparavant.  Je ne l’ai pas testé mais j’ai assisté à une démo au Micromania Games Show, et le moins qu’on puisse dire c’est que le jeu est prometteur : caméra dynamique, personnage fluide et stratégie obligatoire pour venir à bout des ennemis. Petit détail esthétiquement agréable : les objectifs s’affichent dans le jeu, sur le décor. Comme dans la série Fringe où le nom des lieux s’affiche comme si ça faisait partie du décor (très bonne série, regardez-là). Bref, c’est un jeu développé par Ubisoft Montréal, et avec Assassin’s Creed II, ils ont prouvé qu’on pouvait leur faire confiance. Et personnellement ça me suffit

Pourcentage d’excititude : 95%

Heavy Rain

Si j’avais du donner un pourcentage d’excitation il y a un an concernant Heavy Rain, exclusivité PS3 de Quantic Dreams (studio à l’origine du particulier Fahrenheit) j’aurai sans doute dit 100%. Mais après avoir gouté à d’excellents jeux en 2009 et testé la bête au Micromania Games Show, j’ai vu mon niveau d’attente à la baisse tout en conservant une certaine curiosité. Graphiquement les dernières vidéos l’ont prouvé : Heavy Rain n’est plus si beau que ça après les Uncharted 2 et autres Assassin’s Creed II. Il est dans la moyenne. Au niveau du gameplay, dans les deux séquences jouables au MGS (Scott Shelby assistant à un braquage dans une supérette, et l’agent Norman qui enquête dans une casse automobile) , 90% des actions sont des QTE dont l’échec ou la réussite condamnent ou non votre personnage à mort. Donc si vous êtes comme moi, à savoir handicapé des mains et incapable de vous souvenir de quel côté se trouvent R1 et L1 et rond et carré, vous êtes mal barré. La seule chose qui me fait considérer ce jeu comme un achat potentiel reste sa dimension scénaristique et ses multiples fins potentielles, puisque la mort de l’un ou plusieurs des 4 personnages n’entraine pas un Game Over mais modifie l’histoire en fonction. Ou quand le film devient vraiment interactif… Il n’y a qu’à voir les bandes-annonces, qu’on croirait tout droit sorties d’un cinéma, pour confirmer cette certitude !

Pourcentage d’excititude : 60%

Mars

Final Fantasy XIII

Forcément, LE jeu de mars à mes yeux, là où d’autres préfèreront God of War 3. Final Fantasy est une franchise qui a perdu de sa superbe à mes yeux depuis la fusion entre Squaresoft et Enix, et surtout depuis que Square Enix se permet de sucer jusqu’à la moelle sa saga, quitte à la vider de sa substance. Remake en 3D à gogo sur DS des plus vieux opus, spin of pas très bon de Final Fantasy VII (Dirge of Cerberus, n’ayons peur des mots, c’est de la mairde) et une suite pour FF X ! Blasphème ! Un Final Fantasy ne doit pas avoir de suiiiiiiiiiiite ! * bruit de durite qui pète * (allez je pardonne quand même Final Fantasy 7 Advent Children parce que c’est bien beau même si on comprend rien). Pour en revenir à Final Fantasy XIII, c’est le premier FF next-gen, c’est beau, les combats ont l’air bien dynamiques et la durée de vie annoncée est correcte. Ça promet, à condition de survivre aux premières heures, critiquées pour leur linéarité. Mais bordel, c’est Final Fantasy : on joue et on critique après.

Pourcentage d’excititude : 95%

God of War III

Le beat them all qui va mettre tout les modèles du genre au tapis arrive en mars, donc. Accessoirement, les deux premiers opus vont être réédité dans une édition prestige, pour que tout à chacun (moyennant finance) puisse se faire de A à Z les aventures de Kratos en HD. Pour avoir essayé le jeu au Festival du Jeu Vidéo, le gameplay est très similaire aux précédents volets mais m’a semblé un peu plus vicieux quand même. Quoi qu’il en soit, c’est beau, très beau, et ça sera le dernier volet de la saga : une raison supplémentaire pour craquer une dernière fois. Et puis Kratos, quand même, Kratos quoi !

Pourcentage d’excititude : 90%

Just Cause 2

Je n’ai pas joué au premier jeu mais d’après ce que j’ai pu en voir, il ne cassait pas 3 pattes à un canard… La démonstration réalisée au Micromania Game Show m’a néanmoins convaincue que ce jeu était à suivre, pour son vaste monde, ses centaines de missions et ses multiples possibilités de jeu qui permettent de venir à bout des vilains méchants de plusieurs manières, de la discrétion relative au carnage le plus total. Le héros, Rico, est un agent chargé d’aider la population locale à lutter contre des mercenaires voulant prendre le pouvoir, ou un truc comme ça. A l’écran ça se traduit par des gunfights joyeux, des courses de véhicules en tout genre et de la voltige en parachute. Conçu par Eidos, édité par Square Enix, le jeu annonce une durée de vie de plus de 100 heures : espérons seulement que ça ne soit pas aussi répétitif que dans Infamous, qui, au niveau des quêtes annexes, annonçait un peu le même principe.

Pourcentage d’excititude : 95%

Pour le bien du porte-monnaie, je vais m’arrêter là... Mais si j’en ai oublié, faites péter les infos

This entry was posted on Dimanche, janvier 3rd, 2010 at 16:09 and is filed under Geekeries, Internet et Gaming, Ma vie, mon oeuvre. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed. You can leave a response, or trackback from your own site.