Entre le boulot qui ne semble pas baisser, la santé qui pourrait aller mieux et pire que tout Télé 2 qui déconne à plein tube depuis plus d’une semaine, les temps sont durs.
L’objectif ultime avant les vacances : Cloturer le plan détaillé de mon mémoire de maitrise. J’ai déjà des tonnes d’infos et d’analyse à mettre en forme, mais impossible de vraiment commencer tant que le plan n’est pas OK. J’attends donc l’instant Kodak, où mon directeur de mémoire lèvera ses deux pouces en me lachant un “O.K. !” à la japonaise, façon manga. Ou pas. Un “Oui” suffira.
En attendant je suis aussi desperate que les housewives que je cotoie à longueur de temps sur mon pc, sur ma télé, dans mes notes et analyses. Qui aurait pu croire qu’une série qui semble si légère pouvait dévoiler autant de richesses une fois la surface un peu grattée ? Je commence à comprendre comment des chercheurs peuvent passer 15 ans de leur vie à étudier le même film, finalement. Même si pour moi, ça restera toujours un sacré mystère.
A part ça, j’ai commencé les courses de Noel. “Déjà ” me direz-vous. Ben oui. Pour plusieurs raisons qui justifient vachement le truc, même. Tout d’abord, je profite du moment où j’ai du fric pour le faire. C’est finalement assez rare comme ça, voire même miraculeux par les temps qui courrent. Je dis merci au tutorat dont les sousous sont ENFIN arrivés, en partie du moins, et ça, ça fait du bien.
Ensuite je commence tôt pour FINIR tôt, et ainsi m’éviter la foule suante et chiante qui fait ses courses à la va-vite l’avant veille de Noel, sur fond de joyeuse musique dont le son a été monté au maximum pour masquer le brouaha des gens qui gueulent parce que tel ou tel magasin n’a plus le-jouet-capital-pour-le fils/petit-fils/neveu/cousin/alien, le 24 décembre à 18h30.
Ne vous formalisez pas. J’aime les fêtes et j’adore Noel, j’ai toujours hâte de voir la tête qu’auront les gens en découvrant les cadeaux que je leur ai fait. Mais tout ça ne m’empêche pas, une poignée de jours à la fin de l’année, de detester les gens qui trouvent malin de s’y prendre au dernier moment “pour faire plaisir”, et qui contraint par leur propre lourderie offrent les restes planqués dans les entrailles des magasins à leurs proches. Si Noel, c’est le respect des traditions, certains doivent avoir comme tradition “peut importe les circonstances, il faut savoir rester con”. Youpi o/
Enfin, dernière (bonne) excuse : Ca me permet de décompresser. C’est dans ces cas-là que je constate que oui, j’ai des gènes féminins : Dépenser des sous me calme. C’est déjà ça…
Voilà pour les news fraiches. Je posterais surement plus souvent à partir des vacances de Noel. Avant ça, vous aurez sans doute droit à quelques nouvelles de mon mémoire, qui me hante jour, nuit, et même entre les deux.
Bisous !
Cette année à Anim’Est il y aura tous les trucs habituels, des projections, des jeux, des boutiques, des fanzines, le 