GNU/milouse dit :
tu devrais épouser hitman
GNU/milouse dit :
tu t’appellerais aka 47
La palme d’or va à Milouse
En reaction à cette vidéo où je me fais tuer :
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tu devrais épouser hitman
GNU/milouse dit :
tu t’appellerais aka 47
La palme d’or va à Milouse
En reaction à cette vidéo où je me fais tuer :
Tombée en pénurie de séries à cause de la grève des scénaristes (mais ils ont raison de la faire, quand même !) j’en profite pour redécouvrir quelques classiques du cinéma que j’avais eu l’occasion de voir il y a quelques années, ou bien dont je n’avais aperçu que des extraits en cours.
Parce que je n’ai pas vraiment le temps d’en écrire plus pour le moment, j’en citerai uniquement deux, que je classe sans aucune hésite aux premières places de mon top-100 imaginaire de films à voir absolument : le culte Autant en emporte le vent et le magnifique Quand passent les cigognes.
Le premier est archi-connu de tous je pense, même si on ne l’a pas vu. Pour moi, ce film est LE film. Je ne l’avais pas vu depuis au moins 5 ou 6 ans et autant dire que je ne l’avais jamais vu du tout : aujourd’hui je me rends compte comme jamais à quel point ce film est impressionnant techniquement et esthétiquement (il date de 1939 et pourtant certains plans dépassent des films d’aujourd’hui sans aucun problème et avec un lyrisme à pleurer), mais en plus l’histoire est inoubliable. Vivien Leigh est sublime, Clarke Gable magnifique. Le film dure 3h30 mais on s’en fout, on est tellement porté par ce qui se déroule à l’écran (la guerre de sécession vécue par Scarlett O’Hara, une jeune femme un peu trop indépendante pour son époque, amoureuse d’un homme parti au front et marié à une autre… Tout ça sans compter Rett Butler… Aaaaah là là , Rett !) qu’on ne voit pas le temps passer.
Mon seul regret c’est de l’avoir revu sur une copie VHS pourrie en 4/3 et surtout dans une VF vieillotte. Malheureusement, comme beaucoup de grands classiques, l’Ultimate Edition 4 DVD est plus chère, ce qui en fait un achat classieux. Mais il parait que l’image de cette édition est magnifique, donc ça semble justifié. Ou pas.
Le second film est bien moins connu, mais reste pourtant immanquable. Quand je parle de ce film en disant “C’est un film russe qui a eu la Palme d’or à Cannes en 1957”, tout le monde baille. Et puis le film commence et c’est plus la même musique : Veronika attend Boris parti au front et si on coupe la vidéo avant la fin, tout le monde hurle pour qu’on relance le magnetoscope. Là encore, le film ose des travellings impressionnants pour l’époque, dont la première scène du film qui suit la montée de Boris dans les escaliers sous-forme de plan-séquence : difficile de ne pas être captivé dès les premières secondes de ce drame, où encore une fois amour rime avec guerre. Veronika, interpretée par Tatiana Samoilova, est un personnage d’une force incroyable : tellement de choses passent au travers de son regard qu’elle n’a même pas besoin de parler. C’est beau et encore une fois, c’est pas donné ! Heureusement les profs de l’IECA sont là pour passer ses petits bijoux sur grand écran…
Voilà , j’avais juste envie de dire ça, de mettre le doigt sur deux films selon moi indispensable… Ca parait peut-être étonnant pour les (quelques) lecteurs habitués à lire ici mon blabla sur les blockbusters hollywoodiens et mes diatribes au sujet du cinéma d’auteur. Même si je ne suis pas une adepte fanatique des vieux films à la pélicule usée (quoi qu’aujourd’hui ça ne veut plus rien dire tout ça) je reste convaincue qu’on ne peut pas aimer le cinéma sans aimer les grands classiques. J’essaierais donc de temps à autre de parler d’un film que je trouve culte !
Voilà , la minute culturelle est passée, vous pouvez vous rendormir
Après ces quelques mois sans note aucune, je vais commencer l’année 2008 par une choquante révélation : souhaiter la bonne année à tous ceux qui n’étaient pas dans la même pièce que moi à minuit relève d’un des plus hauts niveaux de corvées. D’abord parce qu’il n’y a pas la joie de smacker tout le monde sur la bouche durant une phase de “je suis bourée et j’assume”, ensuite parce que les SMS le soir du réveillon, c’est un miracle lorsqu’ils ne se perdent pas dans le vide intersidéral (je n’ai jamais compris comment les SMS pouvaient se “perdre”, d’ailleurs).
Je profite donc de ce passage sur mon blog pour souhaite une BONNE ANNEE 2008 à tout ceux qui me lisent et qui n’ont pas encore reçus de voeux de ma part. Ca, c’est fait.
Pour ce qui est du reste, il s’est passé beaucoup de choses depuis septembre. J’avais dit en début d’année dernière que j’espérais que 2007 soit meilleure que 2006, et ça a bel et bien été le cas (quoi que ce n’etait pas compliqué de faire mieux). 2008 sera-t-elle meilleure que 2007 ? L’avenir me le dira.
Quoi qu’il en soit, suite à mon travail visiblement apprécié chez Nancycampus, je vais prochainement passer à mi-temps, doublant ainsi le temps imparti à ma tâche hebdomadaire (20h au lieu de 10) et surtout, doublant mon salaire. Oui, car je n’ai jamais fait moins de 15h de boulot par semaine, donc finalement ça ne changera pas grand chose pour moi niveau temps. Comme quoi l’implication à fond paie parfois.
Je suis par ailleurs toujours pigiste depuis SériesTV magazine, et vous pourrez lire mes nouveaux articles dans le numéro qui sortira mi-février (d’ici là vous aurez oublié mais je vous le rappelerais !). DVDSéries tourne par ailleurs toujours aussi bien et il y a toujours du boulot (et des DVD) en abondance sur le coin de mon bureau.
En définitive le seul truc sur lequel je n’avance pas, c’est mon mémoire, qui stagne depuis plus d’un mois sur le nombre hallucinant de 14 pages. Ca sent le moisi mais bon, j’irais au bout ! (Ou pas). Cette periode de transition entre la vie étudiante et la vie active est extrêmement bizzare à vivre : planning à tenir, responsabilités, patrons à qui il faut rendre des comptes, bouclages… Mais aussi sécurité sociale, cotisation pour la retraite, feuilles de salaires, premières paies… Beaucoup de premières fois en peu de temps. Effrayant n’empêche.
Et puis bien sûr, la peur de la suite, la recherche d’une certaine stabilité, une réflexion sur le plaisir de faire ce que je fais… Je pensais que mon inquiétude de l’avenir s’estomperait avec l’arrivée d’un job sympa, en fait je me rends compte que l’arrivée dudit job me pouse à me poser encore plus de questions. J’ai clairement choisi une voie complexe en matière de stabilité, même si pour l’instant j’ai la chance d’être clairement “salariée” et pas simplement une pigiste qui galère à se faire payer ses articles. Être un peu dure avec soi-même aide grandement à avancer dans la vie, n’empêche. Reste à savoir si ça m’aidera encore longtemps.
Le mois de janvier qui arrive s’annonce encore pas très facile, d’une part à cause des partiels, d’autre part à cause du retard à rattraper (quand je rentre chez mes parents, c’est pas que j’arrive pas à bosser, mais presque). J’espère que cette année bougera autant que la précédente, car je crois que j’ai pris goût aux surprises.
A très bientôt !