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Archive for juin, 2005

Le Mime Arno

Dimanche, juin 19th, 2005
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A l’Epita, Arno a été forcé de nous mimer un truc :

Devinerez-vous ? ___ (Ca a un rapport avec des persos de Manga/Japanim, hein)
Et ceux qui étaient, là, pouet :x

Coiffeur

Lundi, juin 13th, 2005
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avant et après le coiffeur
J’avais dis pas trop court, ça m’enerve >_< Sinon, guettez Spacechips, il va y avoir du neuf sous peu…

En avoir… Ou pas.

Dimanche, juin 12th, 2005
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Avec la réforme LMD qui déboule à Nancy II à partir de la rentrée, adieu le DEUG. Ouais, ça n’existe plus. Le premier cycle universitaire devient la combinaison des deux premiers d’avant, c’est à dire DEUG et licence. Donc on en vient à faire une licence en 3 ans.
Déjà qu’un DEUG ça servait à rien, ben là ça n’existe plus. Et c’est le bordel grave pour entrer en 3e année de licence, puisque ça se fait cette année uniquement par courrier postal, puisqu’il faut du temps pour que les responsables web de la Fac mettent le site à jour, je pense. Bref.
Comme la plupart des “parcours” (c’est comme ça qu’ils ont nommé la 3e année) sont en places limitées et que ça va être l’hytérie chez les Bac+2 cette année, j’ai pensé que pour mettre toutes les chances de mon coté il fallait que je postule dans tous les parcours proposés.
Donc je me retrouve à faire des lettres de motivation pour des parcours assez originaux vu ce que je veux concrêtement faire, dans l’unique but de me rassurer étant donnée que même si je suis prise je n’irais pas. Du coup je patine, je m’invente des orientations de carrières utopiques.

Si je suis pas prise à l’IECA (mon dieu, ne parlons pas de malheur), je pourrais surement devenir comédienne. Ou mythomane.

SiN City

Samedi, juin 11th, 2005
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Me revoilà à Auxerre, youpi youpi les amis, c’est les vacances, “l’école est finie” comme dirait l’autre (et pas forcément celle que vous pensez) et plus qu’autre chose, je me rends compte que je n’ai même pas dit un mot sur l’adaptation au cinéma de Sin City, la BD monumentale de Franck Miller. Réparons ça.

Sin City, c’est la ville du vice et du péché. Les prostitués dirigent la vieille ville, les flics les plus intégres se font trahir par leurs coéquipiers pour une simple divergence de point de vue, le fils de l’homme le plus puissant de la ville est un dérangé pédophile qui se cache derrière le pantalon à pince de son papa… Bref, c’est gai. Mais ça n’empêche pas la vie de suivre son cours.

A la base, Sin City est une B.D. de 7 tomes qui relate à chaque fois les aventures d’un ou de plusieurs des citoyens de la ville. 7 volumes comme autant de tranches de vie, mélant déclin, nostalgie, désespoir, espérance, haine, violence, amour… Les sentiments exprimés par les personnages ressemblent à la ville dans laquelle ils évoluent. Sin City est à la fois repoussante et attirante, humaine et inhumaine, elle semble venir d’ailleurs, d’un autre temps, d’un autre monde, et malgré tout ses habitants sont bien humain, du moins pour la plupart. Et au détour d’une ruelle on se reconnait au moins dans l’un dentre eux.

Ces dernières années les adaptations de BD U.S. au ciné sont légion, c’est hallucinant. Généralement on critique leur manque de fidélité (Genre Hellboy, par exemple. Les personnages sont décridibilisés dans le film je trouve. Dommage.)
Avec Sin City, on touche à la perfection en matière de fidélité : Le comics est en noir et blanc à l’origine, le film aussi. Seules quelques touches de couleur viennent marquer les détails importants, et se sont généralement les même que dans la B.D. Le casting, quant à lui, frole la perfection, chacun des acteurs collant parfaitement au physique et à l’attitude de son personnage (le come-back de Mickey Rourke n’aurait sans doute pas pu mieux se faire).
De son coté, la narration du film respecte aussi celle du comics, et la voix-off du personnage du moment commente chaque événement avec une fidélité quasi-totale du texte d’origine. Enfin, la bande-son est elle aussi plutôt bonne, avec des compositions exclusives du réalisateur Robert Rodriguez himself, entre autre.

Bref, on se retrouve donc devant une adaptation très fidèle de l’oeuvre originale. Certains trouveront à dire qu’une telle fidélité est nuisible pour le média cinématographique, qui perd son propre point de vue au profit de cette fidélité, pourtant tant recherchée ailleurs.
Mon avis, c’est qu’il faut arreter de chercher des défauts là où il n’y en a pas, de crier à l’injustice quand une adaptation est infidèle, et au manque d’interet quand elle l’est. Que les détracteurs du film de Rodriguez reprennent la B.D. de Miller et la relisent tel un storyboard du film : Ca ne décrédilisera pas l’oeuvre originale, non ! Ca permettra cependant de voir à quel point ce comics était prédestiné à être fidèlement adapté au cinéma.

Publ

Lundi, juin 6th, 2005
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Ahahahah les amis.
Il est 6h20 du matin et j’ai pas encore dormi.
meurt
Mais au moins, voilà. Le forum du Baratie est enfin, de nouveau disponible, après plusieurs semaines de K.O. total à cause d’une base de donnée inexplicablement défaillante.
Alors, fans de One Piece, ou pas, c’est par là.
Ouais, je sais, c’est de la honteuse publicité, mais faut bien que le fort taux de fréquentation actuel de ce blog serve à quelque chose. Huhu.
Bonne nuit ! ZZZZZzzzzZZzz

The Devil Inside Radio

Samedi, juin 4th, 2005
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Voili voilou, j’ai mis une tite radio avec quelques titres sur le blog.
Vous pouvez y acceder par la page en haut, dans la rubrique pages.
Pour acceder à la radio du blog en popup, il vous suffit de cliquer là. Je changerais les titres de temps en temps ;) Bonne écoute _
PS : Les photos représentent les guest-stars du blog. Amusez vous à les reconnaitre :D

RE-PS : J’ai mis à jour la page du Tribute to Akazan ! C’est vraiment trop chouette __ Continuez à participer surtout ! :D

La fin.

Samedi, juin 4th, 2005
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En ce moment, c’est la fin de plein de trucs. – La fin de l’année universitaire, – La fin de Star Wars, – La fin du blog de Gä (du moins jusqu’au prochain) – La fin du blog de Frantico (du moins de façon quotidienne) – La fin de Sex & The City.

Alors voyez-vous, avec tout ça, je me dis que c’est le début des VACANCES. Ouais mais si tout se termine juste avant, je vais faire quoi, moi, jusqu’à la rentrée ? >:
Bon, c’est aussi la fin de la journée, alors je vais me pieuter.

Epita pas tort (qui tue).

Jeudi, juin 2nd, 2005
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Bon oui, heu, en fait, cette note aurait du venir hier, mais bon, j’ai oublié. Jusqu’à ce que Fifi me demande si j’avais posté ma “note de l’Epita”, j’y pensais plus.
Vous voyez je suis vachement sincère. Meuh.
Pour tout avouer je suis légèrement crevée alors que je suis en pré-vacances. J’ai mal aux yeux de bricoler sur le PC toute la journée, alros qu’avant je pouvais passer une journée dessus sans problème. Ce n’est plus le cas. Ca voudrait dire qu’à 20 ans j’ai perdu la fougue que j’avais quand j’en avais… 18 ? Mince. Ou pas.

Le sujet du jour, c’est le salon de l’Epitanime qui s’est tenu le week-end dernier à Paris. Le samedi, j’ai retrouvé Cécile et Arno à la gare de l’Est, puis nous avons courru tous les trois gare du Nord pour receptionner Chloé/Fujin (on s’est caché derrière les poubelles mais elle n’a pas été dupe) et ensuite aller boire un coup au Mac Do’ avant d’aller manger japonais. Bon y a eu un délai entre tout ça, hein. On a quand même pris le temps de s’assoire.
Cette soirée était géniale. le genre de soir où tu bois pas d’alcool mais où t’as l’impression d’être un peu beuré quand même, une soirée d’euphorie où tu es heureux de retrouver tes amis que tu vois pas assez souvent.

On rentre chez Cécile vers minuit par le R.E.R. Là, on assiste à un vol de haut vol (ahaha) de portable. Pas le temps de réagir : Le type se barre à une vitesse folle pendant que 3 nanas lui courent après. Malheureusement elles ne comprennent pas que sauter un tourniquet de métro demande de l’entrainement, et elles se mangent le truc une par une (sans compter celle qui s’est gaufrée sur le quai en tentant de retenir son portable). Bref c’est pas drôle, mais quand même, voilà quoi.
Arno, Chloé et moi avons discuté jsuqu’à 2h30 du matin avant que le sommeil nous emporte. Pas loin, parce que le reveil est venu nous chercher à 8h.

Abordons désormais la convention : Mes parents (qui amenaient mon frérot) m’appellent vers 9h30 en m’informant qu’il y a déjà une file d’attente monstrueuse devant l’entrée. Je leur demande gentillement de faire la queue pour nous, ce qu’ils font sans hésiter. En arrivant, on retrouve Alex, Mimi, et Lina, qui est déjà dans la file. Mes parents nous cèdent la place et s’en vont. Pour nous c’est le début d’une grosse heure d’attente passée à délirer et prendre des photos. Des photos que je ne montrerais pas sous peine de me faire tuer par Cécile >D
A l’entrée on nous file un sac Mabell avec un t-shirt de Gundam Seed et un Gashapon dedans, ainsi que des cartes postales Ragnarok the Animation Ca commence trop bien. On croise des gens qui ont de magnifiques sacs Ragnarok, on est tellement excitées avec Chloé que quand on en trouve deux dans les poubelles, on les prend. Nous serons les romanos du jour. Plus encore quand on se rendra compte qu’on peut avoir autant de ces sacs qu’on veut au stand Mabell…
On a fait les jeux Tsubasa, en particulier le G.B.O.
On avait l’air trop intelligent !
Ahahah !
Et puis bien sûr, le Cosplay, pendant lequel certains d’entre nous ont décidé d’en profiter pour aller faire les stands. Heureusement, Cécile était là pour saisir l’insaisissable, l’image furtive, imprenable, culte, d’une cosplayeuse montrant son derrière à la foule :
comme quoi le bonheur, c'est pas grand chose !
L’Epita, c’est aussi des créatures merveilleuses qui posent avec toi même si tu les connais pas.
Mais qui diable etes-vous ?
C’est Philippe Cardona qui te dessine un Kenshiro rien que pour toi.
Piyo !
Bref, plein de belles choses.
Il y aurait encore plein de trucs à dire sur ces deux journées à Paris, sur le salon, sur les au revoir qui se font toujours trop tôt. L’Epita est un salon cool mais qui cette année avait un enorme défaut : Beaucoup de stands de goodies, très peu de stands de manga. Du coup, peu d’achats concrêts. Et pourtant c’est vraiment un lieu qui symbolise beaucoup, et ce, même si toute la bande se réunis désormais aussi hors-conventions.
On rentre tous chacun de notre coté, mais ce coup-ci, on sait qu’on se reverra fin juin, pour tourner un film fantastique, merveilleux et sucre dont vous aurez sans faute des nouvelles.
A vous les studios !