JEUDI, 9h30.
Reveil en sursaut. Téléphone.
“Allo ?
– Allo ? Audrey ? C’est Max ! (Maxime, 20 ans, pote de fac) je te reveille pas, au moins ?
– Baaaaah, ‘suis couchée à 3h00 à cause de…
– Ah, merde ! Je te rappelle plus tard alors !”
Raccroche. Retourne me coucher.
13h00 : Je me lève enfin. Brossage de dents. Allume la télé. M’habille.
13h30 : Ouvre le frigo. Constate qu’il y a plus grand chose. Fini par trouver un steak dans le freezer, et un sachet de purée dans le placard.
14h00 : Steak-purée, le repas des gagnants !
15h00 : après avoir mangé, fais le plumard et la vaisselle, boulot boulot !
15h30 : Alors que je devais paufiner mon exposé, je me retrouve en train de m’acharner sur la campagne de l’add on de Neverwinter. Serieux.
16h00 : Cours d’anglais. Chiant, rien à dire. Vivement qu’ils le remettent à 14h00…
18h30 : Retour à l’appart’. Décide de faire mon devoir de Litterature fantastique.
18h40 : Folle envie de revoir “Requiem for a dream” (je me demande ce qui me pousse à être aussi maso, des fois.) j’appelle Sophie pour lui demander si elle peut me le preter. C’est oui. Je part donc en quête du DVD chez Sophie, qui habite à 400 m de chez moi.
19h00 : Sophie est toute seule. J’accepte un cappucino.
19h10 : Arrivée de Coraline (alias ‘Co’). Nouvelle tournée de cappu.
19h20 (à peu près, je me souviens plus) : Petit coup de fil à Arno, qui compati à mon emploi du temps chargé. Mais tout est relatif, hein Arno ?
19h30 : Finalement, on commande des pizzas, je reste chez Sophie pour manger.
20h00 : Coup de fil de Max. Finalement je sais même pas ce qu’il voulait…
20h50 : Depression nerveuse chronique devant La Nouvelle Star. C’est bon d’être en Fac.
21h00 : arrivée du copain de Sophie. On mange les pizzas en discutant.
22h00 : Je me décide à rentrer.
22h30 : Je me lève de ma chaise.
23h00 : Je me décide à sortir de l’appart’ de Sophie, après une demi-heure debout à barjaquer.
23h20 : De retour chez moi, je décide de regarder ce pour quoi j’étais sortie : “Requiem…”
3h00 : Terrible, ce film. Décidement, j’arrive pas à m’endormir, après ça.
CONCLUSION : Si un jour je vous (re)dis que je suis débordée, vous savez quoi penser…