Contexte oblige (voir note ci-dessous) le retour à la réalité estudine est super difficile. A l’instar de Fifi qui n’a pas pu se résigner à jeter les gobelets en plastique personnalisés du reveillon (vous savez, ceux sur lequels ont fait chacun un petit dessin pour pas les confondre… Enfin bref), mon appart’ a longtemps gardé les stygmates de cette parenthèse enchantée. Mais bon, y a bien fallut que je range quand même, d’autant que la période de révisions ayant débutée, la vaisselle a vite fait de s’accumuler et la poubelle a vite fait de déborder.
Il parait que c’est remotivant de ranger parce qu’on se sent superieur au désordre et qu’on a l’impression de recreer quelque chose de nouveau. L’ordre nait du chaos, quoi.
Bah moi ça m’épate surtout que l’être humain soit capable d’entasser autant de trucs inutiles dans 26m². Surtout quand l’être humain c’est moi.
En bref, en rangeant mes étagères, j’ai retrouvé mon carnet d’adresses que je pensais avoir semé à la fac, un billet de 10€ dont j’ignorais la disparition, l’OST de Persona 2 que je croyais avoir oublié à Auxerre, mon chargeur de batterie de GBA SP (je vais pouvoir rejoueeeeer ouaiiiis) et un carnet de timbre. En rangeant mon armoire j’ai retrouvé un pantalon flambant neuf que j’ai jamais mis, et dans les placards de la cuisine, j’ai trouvé de la bouffe perimée depuis 8 mois. Pendant une après-midi, je me suis sentie archéologue découvrant des vestiges datant d’avant le petit Jésus…
Alors, la question qui tue : Maintenant que j’ai tout rangé, suis-je motivée ? Hum, pas des masses. J’ai passé la majeur partie de mon week-end à réviser la Théorie de la Communication, alors aujourd’hui, j’ai pas vraiment le courage de boucler cette dissertation en théâtre. Je l’ai commencé, mais bon… De touta façon je vais passer ma semaine à bosser, alors je peux bien glander ce soir, ça changera rien…
J’aimerais bien tenir le ******* qui a décidé, un jour, de mettre les partiels en janvier…
