Avec des plombes de retard, comme d’hab, voici quelques clichés de notre périple frère-sÅ“ur londonien. Comme c’est plein de photos et tout, faut cliquer pour en voir plus. Hihi.
Mon frère Vincent et moi-même sommes donc partis à Londres, pendant 4 jours, début mai. Un petit voyage préparé plusieurs mois à l’avance comme la carotte qui nous a permis de survivre depuis le début de l’année plutôt chaude-chaude (je ne me plaindrais pas davantage, moi j’avais pas de concours de médecine à préparer). Bref, billets de train, reservation d’hôtel et Oyster Cards en main, nous avons pris l’Eurostar après une escale parisienne chez notre Fifi d’amûr.
En définitive, le voyage en Eurostar est tout ce qu’il y a de plus banal à part que beaucoup de gens parlent anglais et qu’on passe 25 minutes (environ) à passer sous la Manche. J’ai dormi presque tout l’aller. En arrivant, on s’est magné de trouver notre hôtel pour y larguer nos sacs, puis on a pris le métro direction Piccadilly Circus, quartier très commerçant dans lequel on a flâné une bonne partie de l’après-midi.
C’est là qu’entre les boutiques de fringues en soldes à -80% et les magasins de jouets plein d’objets Doctor Who on a commencé à s’entraîner à dépenser des livres, et c’était super cool. Par hasard on s’est retrouvé à Trafalgar Square où on a fait une pauser déjeuner des plus ensoleillées. C’était absolument génial ! (Je peux pas mettre beaucoup de photos au risque que cette page pèse 1GO… difficile de choisir parmi plus de 400 photos !)
Après s’être tapé une bonne douzaine de kilomètres dans les rues marchandes et chaudes de Piccadilly et Soho, on a décidé de prendre des bus au hasard pour se laisser porter au pif. Comme nos Oyster cards se plafonnaient à un moment donné (un montant X ne pouvant pas être dépassé dans la journée, à partir d’un moment on voyage gratis), on descendait et montait à loisir.
au niveau des transports, on a été halluciné par deux choses : d’abord, le nombre hallucinant de taxis et surtout de bus à deux étages qu’on croisait dans les rues (les voitures particulières étant sujettes à une taxe balèze pour rouler dans Londres, on en voit finalement très peu). Ensuite, malgré la visible fierté qu’éprouvent les londoniens pour leur “tube”, le métro (on trouve même des slips et des caleçons avec le plan du métro dessus !) est très très souvent en panne. Sur nos 4 jours de présence je n’ai jamais vu un tel bordel dans un métro, en particulier aux heures de pointe où les lignes principales se retrouvent parfois bloquées 15 minutes. Ça a été l’occasion de plusieurs changement de cap pour nous : dans ces cas là on aime être un touriste !
Le soir on rentrait crevés à l’hôtel, sur le coup des 19h30, après être passés dans une superette à proximité de la station Victoria dans laquelle on achetait de quoi manger pour le soir. Inutile de dire qu’outre les chips au vinaigre qu’on a toutes testées pour ramener les meilleures à Fifi (bonjour les lèvres brulées), on a pris un malin plaisir à gouter des trucs à la fois étranges et pas si mauvais.
Et puis, le soir venu, on sortait visiter deux ou trois pubs… L’hôtel en était entouré...
Le matin après un petit dej anglais composé d’oeuf, bacon, toasts à la confiture et haricots sauce tomate (que j’ai pas osé photographier, ma touristerie a ses limites), on partait assez tôt de l’hôtel, genre avant 9h00. Comme des gros n00bz on se retrouvait automatique dans le flux des gens qui partaient bosser mais on s’en foutait, ça faisait partie du fun, de l’ambiance, toussa. On s’arrêtait fréquemment dans des superettes pour s’acheter à boire en prenant automatiquement un truc nouveau. Je me suis coltinée plein de trucs dégueulasses : les anglais semblent adorer les boissons archi sucrées et pleines de colorant qui mènent à l’écÅ“urement au bout de trois gorgées. Vincent s’est pris d’amitié pour une fausse bière au goût de gingembre (sans alcool, d’où le fake), que je trouvais bien dégueue. Il en a même ramené en France. Comme quoi…
Je sais pas ce que c’est comme bâtiment, mais on le voit dans la série Jekyll !! TROP LA CLASSE ! Waouw.
Donc le matin on était très tôt sur les lieux de visites et on évitait globalement les gros rushes. L’ambiance était super le matin. On a passé toute une grosse matinée à la tour de Londres, le seul endroit à touristes où on a raqué pour entrer, mais force est de constater qu’on a bien amorti le prix du billet. On a vu les joyaux de la couronne, entre autre chose.
Un canon est caché dans cette photo, sauras-tu le trouver ?
Scoop : Henry VIII avait un protège kiki intégré à son armure !
Ah ah ah, c’est bon de se moquer…
De la Tour on voyait super bien le Tower Bridge, qu’on a traversé après un super chouette repas dans une pizzeria en sous-sol aux allures de taverne. La serveuse était hyper sympa et nous a bien fait rire. En plus tout au fond de l’immense salle il y avait un car de touristes français, genre jeunes retraités, qui se sont tapés la honte en nous demandant où se trouvaient les “waters”. Fous rires quand on leur a dit au bout de deux minutes qu’on était français.
Après ça on a traversé le pont et admiré la propreté de la Tamise.
On s’est promené le reste de la journée le long de la Tamise en terminant comme d’hab, par quelques bus au hasard.
Parmi les lieux qu’on a visité, on a eu l’idée judicieuse en feuilletant mon guide acheté pour l’occasion de nous rendre à l’Imperial War Museum, qui possède une impressionnante collection de véhicules et armes de guerre, ainsi qu’une énorme exposition sur les conflits mondiaux du XXe siècle, le tout accessible gratuitement. Vince qui est un fana d’histoire et de films de guerre, était aux anges.
On a visité toutes les expos, dont celle incontournable sur l’Holocauste, passionnante, émouvante et particulièrement instructive. On en a également profité pour voir For your eyes only, l’exposition consacrée à James Bond et son créateur, Ian Fleming. Là par contre c’était payant et on a été plutôt déçus, car l’expo est petite et pas géniale-géniale. Reste que je voulais y aller et j’y suis allé, donc pas de regret ! Après 6 heures de visite (on était arrivé à l’ouverture, c’est à dire 10h00), on se décide à se poser dans un petit resto pour manger un steak étrange, mais bon. On en aura avalé des ovnis, et toujours arrosés à la bière, car là -bas c’est pinte à toute heure
Nous sommes également allés à l’Emirates Stadium, le nouveau stade d’Arsenal. Vincent y tenait beaucoup et c’est un détour que je ne regrette pas car ce bâtiment, qu’on aime le foot ou pas, est réellement impressionnant. Après une razzia en règle à la boutique du stade (forcément, comment prouver qu’on y est allé si on en revient pas avec un polo trop classe ?), on a fait le tour du bâtiment en une bonne demie heure parce qu’il faisait super chaud et qu’on avait grave mal aux pieds.
On est également allé à Camden, où j’ai fait ma razzia personnelle en m’achetant entre autre une jolie besace et une paire de (vraies) Converses à 25€ à ... un français, un parisien qui fait plus de business et qui vend moins cher à Camden qu’à Paris. Je vais pas m’en plaindre, des Converses j’en rêvais depuis des plombes ! Je n’ai pas pu faire de photos par contre, faute de batteries dans mon appareil photo… Ça sera pour la prochaine fois
Enfin, notre dernier jour fut en partie pluvieux… Nous étions également très très chargés puisqu’il nous fallait libérer notre chambre à 10h, pour un train partant à 18h30. Nous sommes aller voir Big Ben le matin, sous la flotte.
Nous sommes ensuite aller voir la London Eye pour nous extasier sur les prix plus qu’exorbitants pratiqués pour monter dedans. Nous avons préféré garder notre argent pour retourner à Piccadilly et racheter quelques fringues et souvenirs pour la famille. On a même sorti la carte bleue, wouhou ! En définitive ça ne nous a pas couté cher en taxes, on a donc bien fait et on le saura pour la prochaine fois.
On s’est bien débrouillé et il ne nous restait que quelques pièces, qu’on a décidé de dépenser au Trocadero, la plus grande salle d’arcade de Londres, et la plus grande que j’aie pu voir dans ma vie (bon, en même temps, j’en fréquente pas particulièrement). On était sur le cul là dedans.
On a dépensé nos pièces de 2 pences dans une machine avec les pièces qui s’accumulent avant de tomber : le Penny Falls. On a bien rigolé : avec une pièce d’une livre on s’est retrouvé avec 50 pièces dont on voulait se débarrasser, mais on y arrivait pas : on a bien du accumuler 250 pièces à un moment dans notre petit bocal en plastique ! Mais à force d’acharnement, on est arrivé à bout. Les pièces sautaient d’une manière particulièrement débile, j’adore.
Le Trocadero c’est un peu comme le Ikéa du jeu vidéo, à savoir que si tu veux en sortir, tu dois te taper tous les étages et les traverser en entier. Nous n’avions plus d’argent et plus beaucoup de temps, mais on a quand même pris le temps d’immortaliser l’endroit pour rendre jaloux les gamers amateurs de jeux d’arcade qui passent ici (et je sais qu’il y en a, oui oui, certains même qu’ils lâchent de commz les vilains). Enorme cet endroit, il y a même des jeux en forme de chaussures de ski et un simulateur de chaise électrique de super bon goût.
Après tout ça, ce fut l’heure de prendre le chemin de St Pancras, de passer la douane dans l’autre sens et de rentrer en France, épuisés, pauvres, et tristounets. Mais on y retournera, c’est une évidence, d’abord parce qu’on est loin d’avoir tout vu, ensuite parce qu’en réservant le voyage à l’avance via voyage SNCF, on a eu un excellent prix. Alors à bientôt, Londres !
CHOC OF THE PIC = CHOCAPIC
Dégueu la Tamise ! XD
Merci pour cette belle balade de londre ! Je visite assis sur ma chaise
Derrière la palissade bordeaux! C’est ça? J’ai trouvé? Je gagne quoi?
Meuâh ! ya trop de texte, je lis pas, mais d’après vos tronches sur les photos, c’était fun !
OMG ça a l’air d’avoir été trop bien ! <3
Londres c’est classe.
La salle d’arcade à l’air dantesque ___
Et vive les expériences culinaires étranges! remarque en Angleterre j’ai l’impression que c’est plus ou moins une obligation XD
Bon alors, une bonne chose, ton frère a bon goût; il lui manque juste… un ingrédient. le bière au gingembre (Ginger beer, I guess) n’est pas du tout une bière en effet, et ne se boit pas cul sec. Mais quand on la mélange à de la vodka, de la glace pilée et des feuilles de menthe pour faire joli, ça s’appelle un Moscow Mule, c’est hyper bon et c’est la claaaaasse (en tout cas à Tokyo et à NYC).
Trop bien les photos ! Vince t’as trop la classe ahahah xD
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