Voici, une fois n’est pas coutume, une note nocturne.
J’arrive pas à dormir. J’ai pas mal de trucs en tête en ce moment, des idées qui fusent d’un peu tous les cotés, le stress de l’attente de l’IECA, j’en passe et des meilleurs.
J’ai envie de faire tellement de trucs, d’apprendre tellement de choses, de créer, de developper mes idées, de concrétiser mon imaginaire, que ça m’épuise. Mais paradoxalement, ça m’obsède tellement que je suis incapable de dormir.
Si je devais faire un listing de ce que je voudrais concretiser, j’aurais du mal à m’arreter. Je sais que pour la plupart des choses c’est difficilement réalisable, et ça me frustre au plus haut point.
Ce soir, j’ai joué à un petit jeu réalisé par Klo, dédié à notre court-métrage Le Ruisseau des Morts-Vivants. Je suis bluffée, d’abord par le jeu lui-même qui est quand même super bien conçu, mais ce qui m’épate d’autre par c’est l’engouement qu’un tel projet, décidé à l’arrache, a pu faire naître chez certains de ces participants. Rien au monde ne pourrait me faire plus plaisir que de voir des gens (qui plus est des amis) éprouver un attachement pour quelque chose sorti d’une idée, lancée comme ça, un soir de printemps, alors qu’on s’emmerde un peu pendant les révisions de partiels.
Là se pose la question suivante : Comment sentir si l’engouement sera présent, ou pas ? Dans la plupart des cas je m’interroge. Du coup, je me demande si c’est vraiment pour moi que je le fais. Quand l’idée devient si forte qu’elle frise l’obsession, pense-t-on a l’idée elle-même ou ce qui pourrait en découler ? Je me dis parfois que ça ne vaut pas le coup d’aller plus loin. Ou qu’au contraire, c’est potentiellement dangereux d’aller trop loin, de trop s’investir, de trop creuser. Il y a quelque chose de dévorant dans les idées. Je me demande souvent comment “exorciser” tel ou tel élement, faire un dessin, ecrire une, deux, quinze pages. Froisser, effacer et recommencer, pour finalement n’aboutir à rien. Alors l’idée reste là , stagnante, et d’autres elements s’y ajoutent, lui faisant prendre de l’ampleur. Des personnages naissent, vivent et parfois meurent dans ma tête en ayant eu des vies incroyables. Mais en définitive, aucun d’eux ne semble vouloir sortir de ma tête. Comme si ces êtres immatériels n’étaient que de petites parties de moi, des parties désireuses d’entreprendre, tout en ne quittant pas les frontières de l’imaginaire.
Je serais vraiment triste que ça ne sorte pas un jour. Mais je les aime trop pour les forcer…
Eh ouais.
C’est le dilemme sur lequel j’avais pas mis le doigt, le fait de créer pour créer ou pour ce que ca peut en découler.
Et aussi ce dilemme d’avoir à quelquechose à faire, mais de pas avoir l’inspiration sur le moment, et ne pas en faire quelquechose de contraignant.
C’est chouette que La Guilde t’ait fait plaisireuh.
Ce sont des questions bien difficiles là >_
Oh non, tout mon comm est pas passé ;((
Ahaha! xD toujours se méfier de >_
Vive le ruisseau des mort vivants! Vive Fifi en pute!
Tiens en parlant de ca, jeudi je suis allé au tournage de l’emission “le cercle” pour canal + !
Et la bas ben devinez ce que j’ai vu? Un travelo qui montrais son string! j’ai tout de suite pensé a Fifi
Holly shit le jeu marche pas chez moi
çà doit marcher, mais c’est tordu pour le faire marcher
ouais mais je suis dég, c’était super sérieux ce que j’avais écrit alors que là ma première phrase, çà fait tout con tout seul, comme ce que j’écris là d’ailleurs. xD
Réécrit.
Ouais, pas con l’idée Arno !
Cet en fait faut eviter de mettre “>_
bon, faut eviter de mettre ce smiley à la con quoi, c’est reconnu comme un bout de code html et ça buggue.
La vérité c’est que ça pourrait etre reglé depuis un bail, mais j’ai la flemme
Hann
Non mais là non quoi, c’est trop de frustration. C’est comme si je parlais pendant 10 minutes et qu’on me demande à la fin de répété parcequ’on a pas entendu.
Et puis non, moi je veux juste enlever la culotte de Lïnoa (avec un ï).
Ouais, c’est mieux (dixit Madame Irma Deuxballes)